La Verna - Aranzadi - dimanche 20 février 2022

Participants Leize Mendi : Lirian, Tristan, Sonia,  Julien, Julie,  Sylvain, Chloé, Coraline, Thierry, Rudy, Marc, Jean Louis, Laurent, Christophe, Jérôme, Serge

Participants invités : Denis, Claire, Émilie, Winnie

T. P. S. T. : 6 heures

Et à l’encadrement, Jérôme, Serge, Christophe, Laurent, Jean-Louis, Marc.

20 personnes pour cette sortie proposée par Serge. Les objectifs sont bien définis et l’organisation préparée est minutieuse. Rassurante pour certains, peut-être inquiétante pour d’autres. Mais en tout cas efficace ; un premier RDV quelque part au Pays basque, un deuxième à trois villes pour un regroupement des véhicules. Tout fonctionne à merveille. 

Arrivée au parking de la Verna, répartition du matériel et constitution de deux groupes.

 

 

 

Les meilleurs dans un groupe et les très bons dans l’autre. Après on inversera. Pour simplifier je vais les appeler les randonneurs et les grimpeurs.

Les grimpeurs partent vers l’escalade qui mène à la galerie Arranzadi et les randonneurs se dirigent vers les amonts de la Pierre. Pour les grimpeurs c’est facile, on descend vers la plage de galets puis on trouve la corde et hop. Sauf que cela repose uniquement sur ma mémoire. Bref, on cherche un peu. C’est de la spéléo quoi !

 

 

On trouve une corde, je suis certain que c’est celle-là (y’en a pas d’autre) Christophe commence une reconnaissance de l’escalade. Ça parait bien raide, notre ouvreur hésite mais persiste. Le doute envahit le groupe, l’hésitation des encadrants n’est pas rassurante, on commence à envisager un plan B.

Finalement Christophe est arrivé à un relais à environ 40 mètres. Un deuxième avis étant toujours bénéfique, je vais tenter de rejoindre Christophe avant de prendre une décision.

 

 

Tout de même Serge nous avait dit « escalade facile » je rejoins la corde, mais je la déplace un peu sur la gauche dans une goulotte qui me semble plus abordable pour mon niveau d’escalade ; Le problème, elle coule généreusement. Le plus difficile étant d’accepter de se mouiller. Une fois cette étape passée, effectivement l’escalade est facile. Je rejoins Christophe, nous décidons de faire monter le groupe, il installe une moulinette sur poulie-bloqueur, je poursuis la montée pour m’assurer qu’il n'y a pas de piège plus haut.

Laurent, et moi nous étageons dans la suite de l’escalade pour bien surveiller tout le monde, Christophe a pris en charge l’assurance de la première longueur. Nos grimpeurs assurent, ils sont rapidement en haut sauf deux qui se sont refroidis à attendre et préfèrent poursuivre leur refroidissement en bas.

A peine arrivé il faut penser au retour car nous apercevons au loin le groupe des randonneurs qui revient ponctuel au RDV fixé. Alors que nous sommes en haut, la salle s’éclaire et nous bénéficions d’un paysage fantastique grâce à l’organisation de Serge qui avait formidablement prévu l’horaire de l’éclairage.

La descente s’effectue sans problème et nous rejoignons la base de l’escalade pour un petit pique-nique avec les deux groupes réunis.

 

Une fois restaurés nous partons pour les amonts. On remonte sur la plateforme, où nous abandonnons au passage des aventuriers des deux groupes qui préfèrent rentrer. Les bruits de l’eau impressionnent tout le monde. Nous passons la première main courante, une deuxième et arrivons à l’entrée de la salle Chevalier. Hélas les gardiens du temps nous rappellent qu’il est déjà l’heure de rentrer. Demi-tour en se disant qu’on reviendra. On aperçoit l’autre groupe dans l’escalade ; voir ces petites loupiotes étagées dans la paroi donne toute sa dimension à la salle et à l’escalade accomplie auparavant.

 

Retour vers la cabane, puis les voitures, puis le café en attendant le deuxième groupe qui ne tarde pas à nous rejoindre. Laurent et Emilie, encore vaillants, préfèrent descendre à pied.

Arrivée au parking de trois villes, chacun rejoint son véhicule, on regroupe difficilement le matériel prêté par le CDS que Coraline doit restituer. La rumeur qui deviendra peut-être une légende dit que Jérôme, qui est très joueur, avait dissimulé quelques frontales…

Tout le monde se quitte dans la bonne humeur, impatient de recommencer.

 

Les randonneurs, et bien je ne sais pas c’est l’autre groupe.

Marc (validé par Sonia)

Photos de Denis, je crois.